Depuis que je suis tout petit, j’envie les plombiers. La plupart du temps, ils ont tellement un beau point de vue de la réalité: coucher à terre à regarder l’états des conduits et des drains … et des dessous de jupe, avec ou sans dessous. Surtout quand il demande à la femme du foyer d’ouvrir et de fermer le robinet de l’évier pour vérifier la réparation. L’évier ne semble pas couler, mais la dame, oui. Ah! Le lubrifiant coule le long de sa jambe et l’ouverture invite à la vérification. D’un geste « professionnel » le plombier examine par un visuel et un toucher l’état des ouvertures … parce qu’il en trouve deux. Plus il examine, plus le liquide est abondant. Par conscience professionnelle, il approche sa bouche et goûte à ce liquide et le liche au complet … pour voir si la fuite continuera. Eh, oui, il y a fuite encore. Il demande à la dame de s’allongé sur le divan pas loin de la cuisine pour qu’il regarde de plus près cette fuite. Et il liche, liche pour vraiment enlever fout le liquide. Toujours une fuite. Il essai avec un doigt, deux doigts, trois doigts de colmater cette fuite. Négatif. Donc il sort donc son tube de chair raide afin de boucher la fuite. Résultats mitigé, ça coule de plus belle. Il vérifie si entrer cet outil dans l’autre orifice aura un meilleur résultat. Déception, ça coule de plus en plus. Il nettoie encore et encore avec sa langue et du coup, un déluge d’écume sensuel se déverse sur lui. Et la fuite s’arrête, il a réussi. Quel beau métier.