Comme dans mon jeune temps

 

Il y a des désirs qui nous collent à la peau pour toute la vie. Comme ma première expérience sexuelle avec Lise, la voisine d’à côté. Voici le contexte: mon village était encerclée par des champs de blé d’Inde et de forêt. Pour un enfant c’était des lieux parfaits pour des jeux de cache-cache, de tague et de guerre de clan. Et, on ne le dira pas trop fort, aussi des jeux de dé-couverte de nos « parties ».

C’est dans le bois que j’ai eu mes premiers attouchements avec la Lise. On courait, on rirait: « Tu ne m’aura pas. Gnan-gnan »! Cette fois-là, on a couru jusqu’au bois, je l’ai rattrapé et on est tombé à terre. Elle avait sa jupe à pois. J’avais l’impression qu’elle avait ralentit volontairement. On a commencé à se chamailler.  Entre nous, je la laissait gagner. J’aimais ça qu’elle soit au dessus de moi, je voyais des fois son slip. Là, sa tête était vers mes pieds et ses jambes chaque bord de ma face, j’avais son « très petit » slip direct devant mes yeux. Hummm. Et ses fesses juste en-dessous. Graduellement, on a ralenti nos pirouettes, nos prises de lutte se sont adoucies et le même fantasme s’est pointé. Doucement elle a descendu ses fesses sur ma face et elle a dit: « Aller, embrasse mes fesses ». J’ai résisté un tout petit peu et je les ai embrassées plusieurs fois. Sur les bord à peau nue. La peau de ses fesses était douce comme de la soie. Puis sur sa culotte au milieu, en poussant un peu le coton pour aller plus dans la fente de ses fesses. Sans m’aviser, elle a éloigné un peu ses fesses et j’ai vu apparaître sa main gauche tirer sa culotte de côté et a dit: « Rentre ta langue dans ma craque, s’il te plaît. ». C’était la première fois que je voyais ces « parties » en vrai. Ouf! Ça me faisait vraiment d’effet. Des « parties » d’un corps de fille que je n’avais jamais vues de proche comme ça. Je voyais une fente entre-ouverte, mouillée et son petit trou. Pure beauté animale. Elle me dé-voilait la Vérité Interdite, le tabou des chrétiens, en temps réel. Et l’odeur, à couper le souffle. Plutôt à accélérer le souffle. Magique. Elle me sorti du choc par « Qu’est-ce t’attend? » Oup! J’ai liché ses « parties » comme on liche un cornet de crème glacée, elle riait de joie. Elle se trimoussait, je n’avais quasiment pas à bouger ma langue comme si elle m’indiquait où aller licher, Puis j’ai sorti ma petite langue pointue et je l’ai fourré dans sa craque: ça goûtait bon. Elle gémisait. La langue sortie, elle faisait des aller-retour dessus. Une fois, toute ma langue a rentré au complet: ça ne semblait pas douloureux. C’était tout mouillé, ça coulait sur ma face. J’ai aimé.

J’aime encore. C’est encore irrésistible pour moi le désir de voir les « parties » d’une fille, de les toucher et de les sucer. J’aime le goût de l’écume de ta jouissance d’adulte et ton explosion. Tu veux être Lise? Tu es une fille MAJEURE? De poids normal? Je suis un homme mature, propre, 5’11, 185 lbs, cheveux brun et un peu grisonnant, yeux vert. En super santé. Gentil et respectueux.

homaimant69@yahoo.ca